2012/03/30

Ma jeunesse - Après la Remise de Diplôme

C'est triste, finalement, je voudrais utiliser français à enregisitrer la vie à l'école d'ingénieur, car après vivant trois ans en France, je ne peux pas écire avec français coulant.


Même avec mon français de mouvaise qualité, je voudrais bien d'écrire quelques chose pour commémorer mes jeunesses. Ce temps était un peu spécial pour moi, c'est le temps depuis quand je pouvais penser ma vie totalement comme une adulte. 



Loin de ma famille, loin de mes amis, loin de mon pays, tous les choses étaient nouvelles, on n'avait pas assez de temps à penser, le temps a été passé. J'étais obligée de penser ma relation avec le monde étanger. 


Je ne sais pas si c'est toujours le même cas pour les autres chinois. J'ai eu envie d'intégrer avec les camarades français, mais toujours n'ai eu pas le courage à faire mon premier pa. J'étais passive. Un des principales raisons étais que la différence entre eux et moi. J'ai eu peur de ne pas pouvoir être compris par eux. Et aussi, je parle mauvais français lentement; c'était vraiment possible de perdre le temps des autres pour corriger et comprendre mon français. Et c'est comme un cercle vicieux; j'ai eu peur de parler, mon français étais pire, et puis je n'ai eu pas de courage à parler plus, et puis etc.


C'est dommage que je n'ai pu pas avoir de vrais amis en France. J'étais vraiment solitaire, j'ai pensé à ma famille, à mes amis, le sentiment était vraiment douleureux. Dans une chambre de 10 metres carrés, seulement un portable sur la table en accompanant. Et puis, les cours de spécialité en français ont pu me tuer dix fois. Mais c'était bizarre entre les français et les choinois à mon école, parce qu'il a l'air un mur entre nous deux. Je n'aimais pas le mûr; mais je n'ai su pas comment on pouvais le faire tomper. En fait, j'aime bien certains de mes camarades français, je voulais bien de pouvoir être son amis, mais je n'ai su pas comment devenir ses amis, comme mes amis en Chine. Et j'ai eu un secret dans mon coeur, c'est que j'ai aimé bien un de mes camarades le plus, mais j'ai eu peur de parler avec lui. Même aujourd'hui, à la cérémonie, je n'ai pu pas lui dire bonjour.


Il a l'air, pendant ce temps, il y avait pas beaucoup de choses mériter célébrer, mais c'était un temps spécial pour moi. Même qu'il y avait beaucoup de dommages, mais je considère ce temps toujours comme une partie précieuse de ma vie de jeunesse. 



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